lundi 9 mars 2009

Le 12 mars serait une date a retenir...

Le 12 mars serait une date tres importante pour une reprise dans le monde de la bourse.

Cliquer ICI pour lire Lee Brodie sur Fastmoney de cnbc.com

Cliquer ICI pour lire ''These Stocks Could Skyrocket 100%, Says Jon Najarian'' toujours de Lee Brodie sur cnbc.com

Cliquer ICI pour lire un article de CNNMoney.com : Wall Street: Ripe for a rally?
By Alexandra Twin, CNNMoney.com senior writer

1 commentaire:

Libre@penseur a dit…

Il reste à voir si le relâchement de la règle du "mark-to-market" ou « évaluation au prix du marché » redonnera confiance aux investisseurs ou, au contraire, augmentera leur méfiance étant donné que cette mesure de relâchement va curieusement dans le même sens que ce qui fut l'un des facteurs provoquant la crise immobilière aux États-Unis, c'est-à-dire, le relâchement des critères d'octroi du crédit hypothécaire, afin de permettre à plus de gens - paumés et minorités - d'avoir accès à la propriété, lorsque Clinton s'est pris pour Mandela.

De plus, l'effet boost de l'assouplissement de la règle du « mark-to-market », serait davantage important si on réinscrivait les actifs à leur valeur historique ou à une valeur intermédiaire. Toutefois, nous serions dans l'arbitraire le plus complet. Ce qui fait penser que cette mesure s'appliquerait à partir des JVM au moment de la mise en application des règles - seule valeur suffisamment objective.

Donc, cette mesure - dans ces conditions - pourrait prévenir que d'autres baisses puissent nuire à la capacité de prêter des banques, mais pourrait difficilement avoir l'effet « Skyrocket » dont on parle dans le texte de CNBC.

Ça reste à voir. Si je le savais, je serais riche.

Autre point. Si on décide d'aller de l'avant avec cette mesure, quand est-ce qu'on arrête ? 12 à 18 mois c'est facile à dire pour un analyste en quête de cotes d'écoutes, mais dans la plate réalité, ça s'applique comment?

Qui, quand et comment on va mettre fin au party ?

Dernier point. On se targue - et avec raison - d'avoir, ici au Canada, des banques bien capitalisées, mais la solution, aux É-U, passerait par la réduction de la capitalisation des institutions financières en relaxant la règle du « mark-to-market »…

Un principe qu'on doit toujours garder en tête c'est que lorsque c'est trop beau pour être vrai...